Le jeudi 24 septembre prochain, le Centre d’amitié ouvre ses portes à la population et lance une invitation au dialogue! Dans un contexte d’incompréhension où l’actualité vient à nouveau ébranler les relations entre les Autochtones et les non-Autochtones à Val-d’Or, le Centre d’amitié ressent l’urgence de créer des ouvertures et des occasions de dialogue susceptibles de favoriser le rapprochement.
La Journée Portes-Ouvertes débutera par une conférence de presse en avant-midi où on procédera au lancement d’un outil de sensibilisation très attendu, la trousse culturelle Minomadjiwin, ainsi qu’au dévoilement de la programmation 2009-2010 du Centre d’amitié. Les activités de l’après-midi sauront intéresser un public varié avec des expositions sur l’histoire des Anishnabek (les Algonquins), une projection des films de la Wapikoni mobile réalisés par des jeunes Anishnabek et la présence d’Archéo 08. Des visites guidées de l’édifice permettront au public de découvrir ce qui se passe au Centre d’amitié et de constater l’étendu du travail qui s’y fait au quotidien. Un atelier de sensibilisation aux réalités autochtones présenté par la directrice de la Stratégie urbaine, madame Johanne Lacasse sera suivi par une table ronde « énergique » animé par Max Lalonde de la radio NRJ. Des orateurs reconnus pour leur franc parler, d’origine autochtone et non-autochtone, s’y exprimeront sans compromis mais en tout convivialité sur les relations avec les Premiers Peuples à Val-d’Or.
Pour la directrice générale, madame Édith Cloutier, « le Centre d’amitié doit demeurer un lieu privilégié où se crée des ponts entre les peuples ». Dans un contexte où les préjugés raciaux affleurent souvent la surface, le Centre d’amitié se propose d’accueillir chaleureusement la population intéressée à découvrir une autre facette des réalités autochtones chez-nous.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
La Journée Portes-Ouvertes débutera par une conférence de presse en avant-midi où on procédera au lancement d’un outil de sensibilisation très attendu, la trousse culturelle Minomadjiwin, ainsi qu’au dévoilement de la programmation 2009-2010 du Centre d’amitié. Les activités de l’après-midi sauront intéresser un public varié avec des expositions sur l’histoire des Anishnabek (les Algonquins), une projection des films de la Wapikoni mobile réalisés par des jeunes Anishnabek et la présence d’Archéo 08. Des visites guidées de l’édifice permettront au public de découvrir ce qui se passe au Centre d’amitié et de constater l’étendu du travail qui s’y fait au quotidien. Un atelier de sensibilisation aux réalités autochtones présenté par la directrice de la Stratégie urbaine, madame Johanne Lacasse sera suivi par une table ronde « énergique » animé par Max Lalonde de la radio NRJ. Des orateurs reconnus pour leur franc parler, d’origine autochtone et non-autochtone, s’y exprimeront sans compromis mais en tout convivialité sur les relations avec les Premiers Peuples à Val-d’Or.
Pour la directrice générale, madame Édith Cloutier, « le Centre d’amitié doit demeurer un lieu privilégié où se crée des ponts entre les peuples ». Dans un contexte où les préjugés raciaux affleurent souvent la surface, le Centre d’amitié se propose d’accueillir chaleureusement la population intéressée à découvrir une autre facette des réalités autochtones chez-nous.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
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