La 38e assemblée générale du Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or a permis à une trentaine de membres de se pencher sur le bilan d’une année fertile pour le Centre d’amitié et de donner les orientations au nouveau conseil d'administration formé lors de ce rassemblement pour l’année qui débute.
D’un conseil d’administration composé de sept administrateurs, les membres réunis en assemblée ont reconduit les mandats d’Oscar Kistabish à la présidence et de Peggie Jérôme, secrétaire-trésorière. Gina Richmond a été élue par acclamation au poste d’administratrice et Anne-Marie Coulombe à celui d’administratrice représentante de la communauté non autochtone. Janet Mark, quant à elle, poursuit la seconde année de son mandat à la vice-présidence et Robert Breault a été réélu au poste d’administrateur par ses pairs au poste de représentant des employés. Le représentant des jeunes au conseil d'administration du Centre d'amitié sera nommé par une élection au comité des jeunes, au plus tard en septembre prochain.
La 38e assemblée générale aura aussi été l'occasion de souligner l'implication bénévole de Doris St-Pierre qui tirait sa révérence après 23 ans comme administrateur (représentant de la communauté non autochtone) au sein du conseil d'administration du Centre d'amitié. Oscar Kistabish, président, a tenu à souligner l'engagement de M. St-Pierre en ces termes : « la parole qu’il porte dans la collectivité en toutes occasions contribue à faire une différence. Pour un segment de la population trop souvent ignoré ou aux prises avec des préjugés, les Autochtones en milieu urbain, Doris est un ardent défenseur. C’est un grand privilège de côtoyer un homme doté d’une grandeur d’âme comme la sienne, d’une bonté et d’une générosité rare. »
Par ailleurs, lors de cette assemblée générale, les membres se sont montrés très préoccupés par l’accentuation de la pauvreté qui sévit à Val-d’Or et qui fragilise une part importante de la population déjà vulnérable, dont des Autochtones vivants en ville. Ces citoyens et citoyennes subissent les contrecoups de la prospérité économique que connaît la ville, alors que les difficultés à se loger et l’accroissement du phénomène de l'itinérance précarisent le climat social de Val-d’Or, une ville où la présence autochtone est incontournable.
Les participants ont toutefois pu se réjouir de la réalisation d’un souhait manifesté par l’assemblée depuis 2004 soit l’acquisition d’un lieu à vocation culturelle pour la pratique des activités traditionnelles et de ressourcement avec l’acquisition du camp des Scouts.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
D’un conseil d’administration composé de sept administrateurs, les membres réunis en assemblée ont reconduit les mandats d’Oscar Kistabish à la présidence et de Peggie Jérôme, secrétaire-trésorière. Gina Richmond a été élue par acclamation au poste d’administratrice et Anne-Marie Coulombe à celui d’administratrice représentante de la communauté non autochtone. Janet Mark, quant à elle, poursuit la seconde année de son mandat à la vice-présidence et Robert Breault a été réélu au poste d’administrateur par ses pairs au poste de représentant des employés. Le représentant des jeunes au conseil d'administration du Centre d'amitié sera nommé par une élection au comité des jeunes, au plus tard en septembre prochain.
La 38e assemblée générale aura aussi été l'occasion de souligner l'implication bénévole de Doris St-Pierre qui tirait sa révérence après 23 ans comme administrateur (représentant de la communauté non autochtone) au sein du conseil d'administration du Centre d'amitié. Oscar Kistabish, président, a tenu à souligner l'engagement de M. St-Pierre en ces termes : « la parole qu’il porte dans la collectivité en toutes occasions contribue à faire une différence. Pour un segment de la population trop souvent ignoré ou aux prises avec des préjugés, les Autochtones en milieu urbain, Doris est un ardent défenseur. C’est un grand privilège de côtoyer un homme doté d’une grandeur d’âme comme la sienne, d’une bonté et d’une générosité rare. »
Par ailleurs, lors de cette assemblée générale, les membres se sont montrés très préoccupés par l’accentuation de la pauvreté qui sévit à Val-d’Or et qui fragilise une part importante de la population déjà vulnérable, dont des Autochtones vivants en ville. Ces citoyens et citoyennes subissent les contrecoups de la prospérité économique que connaît la ville, alors que les difficultés à se loger et l’accroissement du phénomène de l'itinérance précarisent le climat social de Val-d’Or, une ville où la présence autochtone est incontournable.
Les participants ont toutefois pu se réjouir de la réalisation d’un souhait manifesté par l’assemblée depuis 2004 soit l’acquisition d’un lieu à vocation culturelle pour la pratique des activités traditionnelles et de ressourcement avec l’acquisition du camp des Scouts.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
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