C’est aujourd’hui à la Grande Bibliothèque du Québec à Montréal que le président du Centre d’amitié, Oscar Kistabish, accompagné de Tina Mapachee, administratrice au conseil d’administration, et Édith Cloutier, directrice générale, recevra une mention spéciale du jury au Prix Droits et Libertés 2010 décerné par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec. La lutte contre le racisme est le thème retenu pour l’édition 2010.
Le jury a souligné l’originalité des stratégies de sensibilisation utilisées par le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or pour lutter contre le racisme, particulièrement la signature de la « Déclaration d’amitié entre les peuples » et la « Marche Gabriel-Commanda ». Le fleuron de cette campagne demeure la participation exceptionnelle des écoles qui permet de placer les jeunes au cœur de la réflexion et de l’action en vue d’éliminer le racisme, un gage d’espoir certain pour l’avenir. Rappelons que la Semaine de sensibilisation 2010 se démarquait par l’engagement de porte-paroles renommés, les Loco Locass, et la présence de Biz aux moments forts de la campagne. Le message de rapprochement entre les peuples a connu une portée sans précédent.
« Ces événements impliquent une participation citoyenne importante et l’ensemble de la démarche a trouvé, à Val-d’Or, une ouverture et une mobilisation qui a rendu tout cela possible », souligne le président Oscar Kistabish. Pour la directrice générale, Édith Cloutier, « le visage de notre ville change et chaque citoyen, autochtone ou non autochtone, contribue à mettre en place les moyens d’une transition harmonieuse. La cohabitation est ici un défi relevé au présent ». Le Centre d’amitié tient à partager ce prix, qui rappelle que la discrimination raciale compromet les droits humains, avec l’ensemble de ses partenaires et avec la population de Val-d’Or. Il en profite également pour féliciter la Fondation de la tolérance qui se mérite le Prix Droits et Libertés 2010.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
Le jury a souligné l’originalité des stratégies de sensibilisation utilisées par le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or pour lutter contre le racisme, particulièrement la signature de la « Déclaration d’amitié entre les peuples » et la « Marche Gabriel-Commanda ». Le fleuron de cette campagne demeure la participation exceptionnelle des écoles qui permet de placer les jeunes au cœur de la réflexion et de l’action en vue d’éliminer le racisme, un gage d’espoir certain pour l’avenir. Rappelons que la Semaine de sensibilisation 2010 se démarquait par l’engagement de porte-paroles renommés, les Loco Locass, et la présence de Biz aux moments forts de la campagne. Le message de rapprochement entre les peuples a connu une portée sans précédent.
« Ces événements impliquent une participation citoyenne importante et l’ensemble de la démarche a trouvé, à Val-d’Or, une ouverture et une mobilisation qui a rendu tout cela possible », souligne le président Oscar Kistabish. Pour la directrice générale, Édith Cloutier, « le visage de notre ville change et chaque citoyen, autochtone ou non autochtone, contribue à mettre en place les moyens d’une transition harmonieuse. La cohabitation est ici un défi relevé au présent ». Le Centre d’amitié tient à partager ce prix, qui rappelle que la discrimination raciale compromet les droits humains, avec l’ensemble de ses partenaires et avec la population de Val-d’Or. Il en profite également pour féliciter la Fondation de la tolérance qui se mérite le Prix Droits et Libertés 2010.
Lieu privilégié de rassemblement et de prise de parole, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite en faveur des droits, des intérêts et du mieux-être individuels et collectifs des Autochtones composant avec la réalité urbaine. Ses services regroupés en secteurs de développement touchent les volets de l’éducation, la culture, la santé communautaire, les loisirs, l’économie et les questions de société. Il est reconnu dans son milieu comme bâtisseur de ponts entre les peuples.
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